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Scène 2

La nécessité d'encourager les réformes économiques et sociales 

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Afin de faire face à ces graves menaces et ne pas sombrer dans les dérives sécuritaires, la Tunisie doit s'engager dans un processus de réformes structurelles à la fois économiques et sociales. Si nous retenons surtout de la Révolution ses aspirations de liberté, il ne faut pas oublier qu'elle avait également pour but de permettre au peuple tunisien tout entier de gagner en prospérité.







Les trois principaux défis de l'économie du pays sont : 

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Pour mener à bien ces réformes, les Tunisiens espèrent pouvoir compter sur leurs voisins européens.

 

 

 

 

 

 

En investissant en Tunisie, ils contribueraient à stabiliser et développer ces réformes issues du dialogue national.

Dans cette optique, certains partenariats sont en train d'être développés : 

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Nicolas Schmit, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Economie du Luxembourg s'est rendu à Tunis les 12 et 13 mai 2015. 

Il y a rencontré Zied Ladhari (ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi), Ammar Younbai (ministre des Affaires sociales)ainsi que Chedly Ayari, le gouverneur de la Banque centrale de la Tunisie.


L'objectif était de préparer des voies de coopération entre la Tunisie et l’UE dans le domaine de l’emploi. 


Il a également été question de trouver des possibilités de coopération dans le domaine de la lutte contre le chômage des jeunes. Une des questions principales est le projet de  développement de la formation professionnelle.

De gauche à droite, Ammar Younbai, ministre des Affaires sociales tunisien et Nicolas Schmit, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Economie luxembourgeois.

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En avril 2011, un tunisien montre son permis de séjour de 6 mois délivré par l’Italie.

 

Comme nous l’avons vu, l’UE craint que l’arrivée de migrants en Europe soit trop importante. Ainsi, le simple fait de déposer un dossier pour obtenir un visa coûte l’équivalent du smic.





Sana Ghenima, présidente de l'association Femmes et Leadership, dénonce :

“ Nos jeunes qui ont fait la révolution avec comme mot d'ordre 'dignité' font face à un véritable système d'humiliation dès qu'il s'agit de mettre un pied en Europe, y compris pour de courts séjours ou des échanges universitaires."





L’UE et la Tunisie ont signé le 3 mars 2014 un accord qui permet une simplifictation des visas et une plus grande ouverture à l’immigration régulière en échange de la lutte contre l’immigration clandestine. La France, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie participent à ce partenariat.




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