CONCLUSION

Finalement, le prix Nobel de la Paix encourage une jeune démocratie qui a encore de nombreux défis internes à relever afin d'assurer la pérennité de son propre modèle démocratique.

Le succès de cette transition dépend en partie d'acteurs internationaux, qui peuvent s'engager auprès de la Tunisie pour l'aider économiquement et financièrement par exemple, ou, au contraire tenter, à l'instar de Daesh, de torpiller son économie pour faire échouer la révolution.

Le prix Nobel de la Paix peut être analysé dans un premier temps comme un mea culpa des démocraties occidentales auprès de la Tunisie, qui ne l'ont guère soutenue pendant sa révolution, préférant, pour la France par exemple, la stabilité et les arrangements du temps de la dictature. 

Il est également signe de soutien et d'encouragement de la communauté européenne.

Enfin, il préfigure peut être un engagement plus important des démocraties européennes qui peuvent, sans s'ingérer, aider à la pérennisation de la démocratie tunisienne.

BIBLI

OGRA

PHIE

La paroles aux tunisiennes